Il est important, pour éviter les déconvenues, que les jeunes daltoniens connaissent leur anomalie avant les phases décisives de leur orientation scolaire et professionnelle.

 

Ce dépistage est souvent fait par la médecine scolaire à l'aide de planches colorées dites pseudoisochromatiques, destinées à « piéger » le déficit. Néanmoins, seul l'ophtalmologiste et l'orthoptiste dispose des moyens et des compétences nécessaires au diagnostic qualitatif et quantitatif de la dyschromatopsie.

 

Ce diagnostic précis est le préalable indispensable à un conseil avisé sur la plan de l'orientation professionnelle future.